Mon apport : Comment souscrire un prêt immobilier avec un faible apport ?
Devenir propriétaire d’une maison ou d’un appartement est un rêve que beaucoup de personnes veulent concrétiser. Face à la difficulté de trouver un logement décent et aux tarifs prohibitifs des loyers, acheter une maison est une solution que beaucoup envisagent sérieusement. La conjoncture actuelle est favorable pour réaliser un projet de cette envergure. En effet, avec les différentes aides mises en place par l’Etat et le bas niveau des taux des crédits immobiliers, tous les facteurs sont réunis pour inciter une personne à faire l’acquisition d’une maison. De ce fait, les banques reçoivent de nombreuses demandes de prêt, formulées par plusieurs catégories de clients.
Malgré cette hausse des dossiers de prêt, le banquier reste toujours vigilent avant de donner son accord sur une demande de crédit. Il doit analyser tous les points se rapportant à la situation familiale, financière et professionnelle du requérant. Cette prudence est motivée que la transaction concerne une somme conséquente. De plus, la banque doit s’assurer que le client a les moyens de rembourser ses mensualités.
Parmi les points clés essentiels pour obtenir l’aval du banquier, il y a l’apport personnel que peut fournir le requérant, son ratio d’endettement, son comportement financier, la pérennité de ses revenus, les caractéristiques du bien à acheter ainsi que la durée du prêt. Cet apport pécuniaire permet au banquier d’avoir une idée de la capacité ainsi que le comportement financier de son client. Il n’y a pas de minimum ni de maximum requis, mais il est tout de même préférable que l’apport du client représente 10 % du coût d’achat du bien immobilier. Cette somme servira à couvrir au moins les frais de déménagement ainsi ceux du notaire. La part financière que peut fournir le client détermine aussi les points de son prêt immobilier. Plus l’apport est important, moins le client devra emprunter. Ce qui a aussi une incidence sur le taux ainsi que la durée du prêt. De ce fait, plus ce pourcentage est élevé, moins important sera l’emprunt du client. Le banquier sera alors plus enclin à accorder un taux et une durée de prêt assez avantageux.
Mais un client qui ne fournit qu’un faible apport a quand même la possibilité d’obtenir un crédit immobilier. Le banquier prendra en compte la qualité de son dossier. Les principaux éléments qu’il analysera sont le taux d’endettement du demandeur ainsi que la qualité de la maison ou de l’appartement convoité. Dans la majorité des cas, quelqu’un qui veut prendre un crédit immobilier doit avoir un taux d’endettement égal ou inférieur à 33%. Mais il doit revoir à la baisse ce taux si sa part financière n’est pas très importante. Il est alors recommandé qu’il règle certains de ses crédits avant de déposer une demande de prêt immobilier.
L’examen des caractéristiques du bien à acheter donne une idée à la banque de sa valeur réelle ainsi que des fluctuations du marché immobilier. La maison sera mise en hypothèque et si l’emprunteur ne peut honorer ses dettes, l’établissement bancaire peut la saisir et la mettre en vente. Le fruit de cette vente sera utilisé pour payer les mensualités du client. Le client peut aussi proposer un garant solvable afin de garantir son emprunt.
Face à un client ayant un faible apport, le chargé de compte étudiera avec minutie ses revenus ainsi que son secteur d’activité. S’il gagne bien sa vie et que la société qui l’emploie n’est pas dans un secteur sensible, alors il aura plus de chance pour obtenir son crédit.
Pour inciter le banquier à donner son aval, il est souhaitable pour le client que son compte n’ait pas été à découvert dans le semestre précédent sa demande.
Malgré cette hausse des dossiers de prêt, le banquier reste toujours vigilent avant de donner son accord sur une demande de crédit. Il doit analyser tous les points se rapportant à la situation familiale, financière et professionnelle du requérant. Cette prudence est motivée que la transaction concerne une somme conséquente. De plus, la banque doit s’assurer que le client a les moyens de rembourser ses mensualités.
Parmi les points clés essentiels pour obtenir l’aval du banquier, il y a l’apport personnel que peut fournir le requérant, son ratio d’endettement, son comportement financier, la pérennité de ses revenus, les caractéristiques du bien à acheter ainsi que la durée du prêt. Cet apport pécuniaire permet au banquier d’avoir une idée de la capacité ainsi que le comportement financier de son client. Il n’y a pas de minimum ni de maximum requis, mais il est tout de même préférable que l’apport du client représente 10 % du coût d’achat du bien immobilier. Cette somme servira à couvrir au moins les frais de déménagement ainsi ceux du notaire. La part financière que peut fournir le client détermine aussi les points de son prêt immobilier. Plus l’apport est important, moins le client devra emprunter. Ce qui a aussi une incidence sur le taux ainsi que la durée du prêt. De ce fait, plus ce pourcentage est élevé, moins important sera l’emprunt du client. Le banquier sera alors plus enclin à accorder un taux et une durée de prêt assez avantageux.
Mais un client qui ne fournit qu’un faible apport a quand même la possibilité d’obtenir un crédit immobilier. Le banquier prendra en compte la qualité de son dossier. Les principaux éléments qu’il analysera sont le taux d’endettement du demandeur ainsi que la qualité de la maison ou de l’appartement convoité. Dans la majorité des cas, quelqu’un qui veut prendre un crédit immobilier doit avoir un taux d’endettement égal ou inférieur à 33%. Mais il doit revoir à la baisse ce taux si sa part financière n’est pas très importante. Il est alors recommandé qu’il règle certains de ses crédits avant de déposer une demande de prêt immobilier.
L’examen des caractéristiques du bien à acheter donne une idée à la banque de sa valeur réelle ainsi que des fluctuations du marché immobilier. La maison sera mise en hypothèque et si l’emprunteur ne peut honorer ses dettes, l’établissement bancaire peut la saisir et la mettre en vente. Le fruit de cette vente sera utilisé pour payer les mensualités du client. Le client peut aussi proposer un garant solvable afin de garantir son emprunt.
Face à un client ayant un faible apport, le chargé de compte étudiera avec minutie ses revenus ainsi que son secteur d’activité. S’il gagne bien sa vie et que la société qui l’emploie n’est pas dans un secteur sensible, alors il aura plus de chance pour obtenir son crédit.
Pour inciter le banquier à donner son aval, il est souhaitable pour le client que son compte n’ait pas été à découvert dans le semestre précédent sa demande.
Taux d’emprunt : pourquoi renégocier le taux d’intérêt ?
Le taux d’intérêt représente le pourcentage en plus que l’emprunteur doit payer à la banque sous forme de mensualités après avoir effectué un prêt pour un projet immobilier. Par conséquent, en constatant les faits, plusieurs emprunteurs tentent une renégociation de son taux d’intérêt. Cela peut être d’ordre personnel ou économique (à grande échelle).
En effet, le monde de l’immobilier, tout comme les autres domaines du secteur tertiaire, évolue en fonction de la situation économique mondiale. Par moments, il connait un succès remarquable, d’autres fois, non. Étant donné qu’on ne sait jamais ce que l’avenir réserve, pour le premier cas, les clients ne peuvent attendre que le domaine soit dans sa faiblesse pour s’occuper de leurs projets immobiliers. Par conséquent, ils ont dû s’engager avec un taux relativement élevé. Et quand vient la période où le secteur aura moins de succès, les taux diminuent automatiquement. Face à cette situation, les anciens clients voudraient sûrement bénéficier de cette baisse. C’est là que la renégociation entre en scène. En premier recours, les clients utilisent généralement la situation comme argument.
Cependant, cela ne peut pas être l’unique raison. Tout le monde connait des hauts et des bas (financièrement) et pour ne pas manquer les paiements mensuels, on peut tout de même essayer d’engager un dialogue à l’amiable auprès de son banquier. Mais, on peut comprendre que tout cela ne soit pas aussi facile que nous le pensons. Il faut être très persuasif ou du moins se procurer des services des professionnels qui sont les courtiers immobiliers.
Lors d’une renégociation de taux d’emprunt, il est important de connaitre que le nouveau doit engendrer une diminution des mensualités tout en gardant la durée du prêt ou encore une augmentation de celles-ci afin de réduire cette même durée. Cela signifie qu’une renégociation du taux peut être à la hausse si généralement on marchande pour qu’il baisse. Enfin, cette démarche est déficitaire pour les banques vu que ses bénéfices diminueront si elles viennent à accepter. Mais ce n’est pas impossible. Le seul moyen d’en jouir c’est de faire un compromis pour les faire comprendre de l’intérêt de ses services en se souscrivant dans les autres prestations qu’elles procurent. D’où l’importance de la collaboration avec les courtiers. Les banques leur font confiance donc leur parole aurait plus de crédit.
Pour faire une renégociation, déjà l’emprunteur doit avoir un excellent profil et avoir payé convenablement ses dettes. Ensuite, il ne faut pas qu’elle soit trop en avance ni trop en retard. Les intérêts ont plus de répercussions dans les premières années de paiement puisque c’est durant ce temps que les clients n’osent jamais faire de faux pas. Par conséquent, les banques essaient d’en tirer profit au maximum. Vers la fin du contrat, ces taux disparaissent peu à peu. Donc, pour que les renégociations réussissent, il ne faut pas que les pertes atteignent les premières années de profit pour les banques. Et si elle est effectuée trop en retard, cela ne servirait plus à rien. Vu que ce taux aura quasiment disparu.
Les banques sont habituellement réticentes pour de tels procédés. Elles les considèrent rarement. C’est pour cela qu’il faut être à la fois très persuasif et charismatique durant les dialogues. Plus les motifs sont solides, plus les chances pourront sourire. De ce fait, effectuer une renégociation ne doit pas être pris à la légère. Il doit avoir fait l’objet d’une longue réflexion aboutissant à des faits positifs tant pour les banques que pour l’emprunteur. Après tout, ce qui ne tente rien n’a rien. Dans ces cas, les services des courtiers sont très sollicités. Eux, qui ont ce pouvoir de convaincre des collaborateurs.
En effet, le monde de l’immobilier, tout comme les autres domaines du secteur tertiaire, évolue en fonction de la situation économique mondiale. Par moments, il connait un succès remarquable, d’autres fois, non. Étant donné qu’on ne sait jamais ce que l’avenir réserve, pour le premier cas, les clients ne peuvent attendre que le domaine soit dans sa faiblesse pour s’occuper de leurs projets immobiliers. Par conséquent, ils ont dû s’engager avec un taux relativement élevé. Et quand vient la période où le secteur aura moins de succès, les taux diminuent automatiquement. Face à cette situation, les anciens clients voudraient sûrement bénéficier de cette baisse. C’est là que la renégociation entre en scène. En premier recours, les clients utilisent généralement la situation comme argument.
Cependant, cela ne peut pas être l’unique raison. Tout le monde connait des hauts et des bas (financièrement) et pour ne pas manquer les paiements mensuels, on peut tout de même essayer d’engager un dialogue à l’amiable auprès de son banquier. Mais, on peut comprendre que tout cela ne soit pas aussi facile que nous le pensons. Il faut être très persuasif ou du moins se procurer des services des professionnels qui sont les courtiers immobiliers.
Lors d’une renégociation de taux d’emprunt, il est important de connaitre que le nouveau doit engendrer une diminution des mensualités tout en gardant la durée du prêt ou encore une augmentation de celles-ci afin de réduire cette même durée. Cela signifie qu’une renégociation du taux peut être à la hausse si généralement on marchande pour qu’il baisse. Enfin, cette démarche est déficitaire pour les banques vu que ses bénéfices diminueront si elles viennent à accepter. Mais ce n’est pas impossible. Le seul moyen d’en jouir c’est de faire un compromis pour les faire comprendre de l’intérêt de ses services en se souscrivant dans les autres prestations qu’elles procurent. D’où l’importance de la collaboration avec les courtiers. Les banques leur font confiance donc leur parole aurait plus de crédit.
Pour faire une renégociation, déjà l’emprunteur doit avoir un excellent profil et avoir payé convenablement ses dettes. Ensuite, il ne faut pas qu’elle soit trop en avance ni trop en retard. Les intérêts ont plus de répercussions dans les premières années de paiement puisque c’est durant ce temps que les clients n’osent jamais faire de faux pas. Par conséquent, les banques essaient d’en tirer profit au maximum. Vers la fin du contrat, ces taux disparaissent peu à peu. Donc, pour que les renégociations réussissent, il ne faut pas que les pertes atteignent les premières années de profit pour les banques. Et si elle est effectuée trop en retard, cela ne servirait plus à rien. Vu que ce taux aura quasiment disparu.
Les banques sont habituellement réticentes pour de tels procédés. Elles les considèrent rarement. C’est pour cela qu’il faut être à la fois très persuasif et charismatique durant les dialogues. Plus les motifs sont solides, plus les chances pourront sourire. De ce fait, effectuer une renégociation ne doit pas être pris à la légère. Il doit avoir fait l’objet d’une longue réflexion aboutissant à des faits positifs tant pour les banques que pour l’emprunteur. Après tout, ce qui ne tente rien n’a rien. Dans ces cas, les services des courtiers sont très sollicités. Eux, qui ont ce pouvoir de convaincre des collaborateurs.
Comparatif prêt immobilier : où trouver le meilleur comparatif ?
Avant de monter un dossier de crédit immobilier, le client doit déterminer l’offre qui convient le mieux à sa situation. De plus, vu qu’un contrat de prêt s’étale sur de nombreuses années, il est nécessaire qu’il analyse bien les obligations découlant d’un prêt immobilier sur le long terme. Il doit alors faire une simulation de son emprunt et voir sa situation financière sur toute la durée du contrat. Plusieurs moyens s’offrent à lui afin de faire le comparatif des différents prêts immobiliers pratiqués par les établissements bancaires.
Il peut s’adresser directement à son banquier ou un autre établissement financier. Il aura ainsi directement les informations dont il aura besoin et le banquier peut simuler avec lui son cas. En fonction des points fournis par le client, le banquier peut aussi déterminer le prêt immobilier qui lui conviendra. Plusieurs critères sont pris en compte par un banquier lorsqu’un client dépose un dossier de prêt immobilier. Ces points se rapportent principalement sur la situation professionnelle mais aussi financière du client. Le banquier regardera en détail si le client travaille sous un contrat à durée déterminée ou non. Il analysera aussi la santé financière du client, grâce à ses déclarations de revenus, les différents mouvements de son compte bancaire sur le dernier semestre et ses dernières fiches de paie. Cette solution présente l’avantage de voir avec un professionnel les différentes modalités et le prêt qui correspond le mieux à la situation du client. Mais un inconvénient majeur se rapporte au fait de faire un comparatif chez son banquier. En effet, la décision du client dépendra seulement des recommandations de son banquier.
Le meilleur moyen pour comparer les différents prêts existants est de voir les sites spécialisés sur internet et faire une simulation. Cette analyse est effectuée en ligne, en fonction de la situation financière du client ainsi que des différents points exigés par la banque dans le dossier de prêt. Il devra entrer les mêmes informations comme lors d’un comparatif à la banque. L’avantage de faire un comparatif sur internet est que le client peut voir rapidement si sa requête a des chances d’être acceptée par un établissement de crédit ou non. Cela lui permettra d’apporter les modifications nécessaires pour augmenter ses chances d’obtenir l’aval de son banquier. Ensuite, il pourra déterminer quel prêt lui conviendra le mieux. Avant de signer un contrat de prêt immobilier et de s’engager à effectuer des remboursements sur plusieurs mois, il est très important pour un client de savoir quelle offre de prêt lui sera la plus avantageuse. Un meilleur comparatif permet d’abord de déterminer le taux à choisir. Le client pourra ensuite fixer si ce taux sera variable ou fixe. Ensuite, selon la durée de l’emprunt et les taux et frais s’y rapportant, le client pourra voir sur le comparatif si un prêt avec un taux élevé lui sera plus favorable qu’un autre avec un taux plus bas. Il est possible qu’un prêt avec un taux élevé engendre moins de frais d’assurance et de dossier qu’une offre qui semble aux premiers abords plus avantageuse. En effet, certaines banques incluent déjà dans les mensualités certains frais d’assurance. Un comparatif efficace prendra aussi en compte les garanties liées au dossier de demande de prêt immobilier. Il y a la garantie hypothécaire où l’emprunteur doit avoir un bien immobilier à mettre en garantie. Il y a ensuite celle où une société de caution s’engage à rembourser la banque si le client a un défaut de paiement. La société garante se retourne ensuite vers le client pour réclamer l’argent qu’elle a engagé. Cette autre formule s’appelle une garantie par cautionnement.
Il peut s’adresser directement à son banquier ou un autre établissement financier. Il aura ainsi directement les informations dont il aura besoin et le banquier peut simuler avec lui son cas. En fonction des points fournis par le client, le banquier peut aussi déterminer le prêt immobilier qui lui conviendra. Plusieurs critères sont pris en compte par un banquier lorsqu’un client dépose un dossier de prêt immobilier. Ces points se rapportent principalement sur la situation professionnelle mais aussi financière du client. Le banquier regardera en détail si le client travaille sous un contrat à durée déterminée ou non. Il analysera aussi la santé financière du client, grâce à ses déclarations de revenus, les différents mouvements de son compte bancaire sur le dernier semestre et ses dernières fiches de paie. Cette solution présente l’avantage de voir avec un professionnel les différentes modalités et le prêt qui correspond le mieux à la situation du client. Mais un inconvénient majeur se rapporte au fait de faire un comparatif chez son banquier. En effet, la décision du client dépendra seulement des recommandations de son banquier.
Le meilleur moyen pour comparer les différents prêts existants est de voir les sites spécialisés sur internet et faire une simulation. Cette analyse est effectuée en ligne, en fonction de la situation financière du client ainsi que des différents points exigés par la banque dans le dossier de prêt. Il devra entrer les mêmes informations comme lors d’un comparatif à la banque. L’avantage de faire un comparatif sur internet est que le client peut voir rapidement si sa requête a des chances d’être acceptée par un établissement de crédit ou non. Cela lui permettra d’apporter les modifications nécessaires pour augmenter ses chances d’obtenir l’aval de son banquier. Ensuite, il pourra déterminer quel prêt lui conviendra le mieux. Avant de signer un contrat de prêt immobilier et de s’engager à effectuer des remboursements sur plusieurs mois, il est très important pour un client de savoir quelle offre de prêt lui sera la plus avantageuse. Un meilleur comparatif permet d’abord de déterminer le taux à choisir. Le client pourra ensuite fixer si ce taux sera variable ou fixe. Ensuite, selon la durée de l’emprunt et les taux et frais s’y rapportant, le client pourra voir sur le comparatif si un prêt avec un taux élevé lui sera plus favorable qu’un autre avec un taux plus bas. Il est possible qu’un prêt avec un taux élevé engendre moins de frais d’assurance et de dossier qu’une offre qui semble aux premiers abords plus avantageuse. En effet, certaines banques incluent déjà dans les mensualités certains frais d’assurance. Un comparatif efficace prendra aussi en compte les garanties liées au dossier de demande de prêt immobilier. Il y a la garantie hypothécaire où l’emprunteur doit avoir un bien immobilier à mettre en garantie. Il y a ensuite celle où une société de caution s’engage à rembourser la banque si le client a un défaut de paiement. La société garante se retourne ensuite vers le client pour réclamer l’argent qu’elle a engagé. Cette autre formule s’appelle une garantie par cautionnement.